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Misanthrope

Les Déclinistes
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Les Déclinistes
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Haïsseur de l'humanité
L'héritage de la peste
La solennelle quête de velours
Maudit sois-tu soleil
Mon âme est celle du corbeau noir
La démiurge
Regard vers l'infinité
Tribulations au pinacle
Le roman noir
Déclin gargantuesque
1666... théâtre bizarre
Lendemain futile
Haïsseur de l'humanité
Déchirure avec le monde des dominants,
Déterminé à désapprendre leur langage,
Famine sur le genre humain,
Au-delà de l'âme, les péchés sont phosphorescents.

Vécu de Haine, la fin était proche,
Ne pouvant supporter cette vie de larmes,
La Mort n'est pas le seul moyen,
Dieu consacré du ciel : "laisse-les désobéir".

Haïsseur de l'Humanité,
Foi dans l’extinction humaine,
Outrance misanthropique,
Ontogenèse de la Haine.

Ontogenèse de la Haine.

Engloutis toutes ces atrocités,
Vivisections, génocides, décadences et maladies,
Répression par des esprits incultes,
Je cherche à m'échapper de cette espèce "Humaine".

Haïsseur de l'Humanité,
Foi dans l’extinction humaine,
Outrance misanthropique,
Ontogenèse de la Haine.

Suivez mon chemin, marchez dans mes pas,
Conjoncture de difformité,
Conflits obstrués par l'épiderme de peau,
La profusion du racisme suscite ce remède.

Haïsseur de l'Humanité,
Foi dans l’extinction humaine,
Outrance misanthropique,
Ontogenèse de la Haine.

Haïsseur de l'Humanité.
Haïsseur de l'Humanité.
Haïsseur de l'Humanité.
Haïsseur de l'Humanité.

Outrance misanthropique,
Ontogenèse de la Haine.

Je te hais... 
				
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L'héritage de la peste
Dans une hystérie sans fin,
Vit un peuple de dégénérescence,
La faim et l'hyper maltraitance,
Dominent leurs éons du Précambriens.
Éons...

Repères aux évolutions brisées,
Retardement et dérèglement primitifs,
Dernières désespérances des chétifs,
Mère Nature par le Virus capitule.

L'Héritage de la Peste

Plus bas parmi les tombes,
Ils alimentent les catacombes,
Ces caveaux de nos familles,
Que le Choléra a rempli.
L'Héritage de la Peste,
Entre Choléra et Lèpre,
Ces barbares entre tes cuisses,
Choix de la mort,
Faucheuse de vies.

Dérives et déviances d'une espèce agonisante,
Abaissée par l'esclavage des perdus,
Projection infernale des sphères de l'Enfer,
Éther, stupre et bave des tordus.

Plus bas parmi les tombes,
Ils alimentent les catacombes,
Ces caveaux de nos familles,
Que le Choléra a rempli.
L'Héritage de la Peste,
Entre Choléra et Lèpre,
Ces barbares entre tes cuisses,
Choix de la mort,
Faucheuse de vies.

Pandémie...

L'Héritage de la Peste,
Infections aux patrimoines de la bubonique noire.

Mais pourquoi construire,
Quand il est si facile de détruire ?
Mais créateur pourquoi survivre,
Quand on peut si facilement se laisser mourir ?

L'Héritage de la Peste,
Infections aux patrimoines de la bubonique noire.

Les enfants hurlent dès l'obscurité,
Crépuscule de massacres et de viols,
Orgies qui s'étirent et qui récidivent,
Les violences du suprême malheur.

Plus bas parmi les tombes,
Ils alimentent les catacombes,
Ces caveaux de nos familles,
Que le Choléra a rempli.
L'Héritage de la Peste,
Entre Choléra et Lèpre,
Ces barbares entre tes cuisses,
Choix de la mort,
Faucheuse de vies. 
				
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La solennelle quête de velours
Seigneur...
Seigneur des destinées,
Créateur du soleil,
Oh être de l'absolu,
Murmure d’une prière universelle.

Père de toutes les haines,
Libérateur juché aux cimes des tours,
Règne sur ce paradis de rocs.
Solennelle quête de velours.

L'infinie grâce de la pensée,
Brise ce labyrinthe de silence,
Par les adieux de mon cœur,
Fatalité d'une bienveillante existence.

Regardant par-delà le soleil,
Je meurs éternellement,
Mais mon âme s'érige pour "lui",
Et brûlera indéfiniment à ses côtés.
Perpétuellement...

Oh Seigneur, -vous- vous êtes mort pour leurs hymnes,
Mânes de puissance, répondez-moi !

Au-delà de la lumière,
Il sublime.
Oh Seigneur, vous êtes mort pour leurs hymnes,
La solennelle quête de velours.

-Amen-
Par les lamentations des attristés,
Malgré les épreuves,
-Amen-
Je resterai debout à vos côtés,
Au bord du chagrin mon sort s'est scellé.
-Amen-
-Prions-
Prions ensemble car ce crépuscule sonne mon heure,
Et adorons une fois encore la tristesse des larmes de Dieu.
-Amen-

Votre humble serviteur. 
				
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Maudit sois-tu soleil
Caresse-moi flamme de l'enfer
Oiseau crucifié, décolle
Soleil, taris les ruisseaux, inhibe mes paroles
Ange déchu au paradis ?
Colombe mutilée, vole !
Autrui, tu m'as trahi buvant mes larmes d'agonie.

Dieu, élude cette longue attente,
Le visage face à la mer
Une éclaircie dans l'aquarium
Cette prison de cristal qui m'enlise.

Les âmes muettes du silence des morts
S'évadent de mon corps en anachronisme,
Elles s'effacent au loin
Telle la radiante élévation de l'opium
Refusant ton été.

Rejoins-moi dans ce rêve
Oh rêve qui me déchire.
Maudit sois-tu soleil !

Possède mon âme
Voile d'antiquité,
Sois mon esclave
Clos ce moment d'infinité.

Étend tes bras sur la douleur du monde
Tel l'aigle sans ailes
Oh... plus de larmes
Océan morphique...
Dans ce hall de miroirs
Où le rythme souple
D'une douce chute de pluie
Martèle le pavé du marbre de l'homme.

Cœur : ailes chromées des parades
Chevalier croisé : chevauche les horizons.

Oh Babylone résonne les cœurs
Jérusalem royaume, terre de bonheur
Joyau de Dieu, nous sommes tous des âmes de Molière
Conduis-moi vers toi, ouvre ton sanctuaire.

Boue, condensation liquide
Glissant le long des corridors
Comme une mélopée.
Aux nues de ma chair, ils écaillent
Ce firmament de bohème
Anathème d'amphore

Caresse-moi, flamme de l'enfer
Oiseau crucifié, décolle
Soleil, taris les ruisseaux, inhibe mes paroles
Ange déchu au paradis ?
Colombe mutilée, vole !
Autrui, tu m'as trahi buvant mes larmes d'agonie.

Let me spleen 
				
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Mon âme est celle du corbeau noir
Mon âme est noire,
Mon âme est celle du Corbeau Noir.

Mensonges du précieux médisant,
En tête des croisées médiatiques,
Enveloppé d'une couronne vrillée,
Submergé par des désirs lubriques.

Ténèbres, clichés abyssaux,
Plus aucune coutume ne rassemble mes Églises,
Je ne suis pas le trembleur.

Deviens mon Serpent, esclave de mes béates promesses,
Juste un point dans cet abri d'intense pourpre.

La ponction sanguine de mon dos révèle :
Un cœur noir,
Obscur liseron,
Je suis noir de cœur.

-Une opacité insensible manipule les égarés-

Humanité désavouée,
... Broyés... ils dépérissent... dépecés...

Cette porte ouverte sur la vallée,
Une chute dans un élégant Néant.
-Une opacité insensible manipule les égarés-

Je suis recouvert de noir,
Cris de muets sans-amours.
Je suis recouvert de noir,
Cris de muets sans-amours.
Mes plans disparaissent comme de vastes futilités,
Juste pour une seconde je désire être,
Je désire être le Corps-du-Moment,
Exauce-moi,
Corps-du-Moment,
Je désire être,
Exauce-moi,
Corps-du-Moment.

Où sept veuves empalées luisent sous ma semence. 
				
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La démiurge
Viens...
Viens, viens couler en moi...,
Le fruit de tes bras s'estompe,
Mon cœur glacé (my frozen heart) s'enflamme,
Près de la jetée, où s'engouffrent les âmes,
Je dessine ton visage sur la glaise tendre,
Et peaufine ton image à coups d'offenses,
Étayé par le vent,
Auprès de l'orage,
Je délaisse un instant, un instant l'ouvrage.

Décrypte les inscriptions monographiques,
Symbiose mégalithe insufflant la vie.

Contradiction de l'Homme face au nouveau Messie,
Opposé à l'Anthropos d'une genèse pathétique.

Souffle sur mon ombre qui s'élance et tombe,
Dans ce gouffre sans fin,
Qu'est mon destin.
Je souffre en silence, mes genoux s'enfoncent,
Étayé par le vent, un remous cinglant du temps,
Déchaîné par l'orage,
Qui nous sépare,
Pullulant de flocons ruisselant sur mon front,
Le ciel s'est embrumé, affaissé je me suis effondré, effondré.

Ton visage sur l'Argile,
Cisèle un cœur de mortel,
Immergé dans un bain de lait éternel.

Enjolive l'ébauche de mes lèvres,
Agenouillé,
La Démiurge, atterrée me brise.
Figurine d'Argile,
Déconvenue de la création,
Statuette d'Argile,
Attristée de son divin échec,
Découragée la Démiurge me brise
				
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Regard vers l'infinité
Face à la Galaxie,
La haine est la clé,
Cadenasse mes jardins,
Vergers entre terre et mer.
Gardien de la passerelle,
Omnipotente Galaxie,
Prédicateur d'une secte Misanthropique,
Unité du bleu, noir et gris... Ah...

Périple au-dessus d'un horizon invisible,
Lucarne ouverte sur le monde,
Chute de neige sur aquarelle,
Croyance de mensonges,
Des milliers de cris se déploient,
En cadence harmonique,
La foudre s’abat sur toi.

Oh, messie,
Descendance baptisée,
Créatrice du pêché absolu,
L'éveil de l'enfant inversé,
Proclame la lueur des nuées.
Déplorante étoile châtiée,
De notre froide sublimité, l'issue obstruée.
Touche ma soie,
Noire comme ma majesté.

Je marche au travers de domaines infinis,
D'insaisissables pas piétinent,
Parmi mes jardins,
Des cierges noirs resplendissent de lumière.

Vogue sur ma musique,
Navigue sur son écho,
Cité, tu m’appelles,
Piégé dans ce morne port de déception.

Est-ce pure démence de l'âme ?

Que clarté recouvre les amertumes de ma foi.

Ma raison fige mon agonie,
Ensemble sur une lame,
Ressent l’absence de tranchant.

Omnipotente Galaxie,
Regard vers l'infinité
Unité du bleu, noir et gris... Ah... 
				
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Tribulations au pinacle
Fort comme un roc et vissé sur son socle,
Tribulations portées au pinacle,
Triomphe de la vie sur la mort.
- Désincarnation ; insubstance -
Fort comme un roc et vissé sur son socle,
Tribulations portées au pinacle,
Triomphe de la vie sur la mort.
Désincarnation ; insubstance de fin de cycle,

Variations sur nos théories déconstructivistes,
Basées sur l'expérience d'improuvables observations,
Où les miracles abattent des totems,
En brisant leurs tabous... leurs tabous...

Nous alternons d'un temps passé qui s'échappe,
En un jadis rêvé qui ne sera jamais,
Vers ces lendemains, cet éphémère.

Le cruel oublié des anciens éloignés,
Matin endeuillé de cette journée de fêlures,
Oh avènement d'une bienveillance organisée,
Désir de vivre libre sans brûlures.

Rebelle et sans concession pour l'amour de l'autre,
Cet autre impossible, ce frère tellement amoché,
Cette maitresse maladive, la beauté de l'indicible,
Oh plénitude d'une fin de vie,
Euthanasie par philanthropie.

La mort assistée du fruit de ma chair,
Pour ne plus le voir souffrir.

Partir pour toujours sous les tambours,
Continuellement disponible, rester présent,
Proche de toi jusqu'au dernier instant.

Et si cet amour me rendait immobile,
La juste contemplation de cet instantané,
Il me comble de plaisirs, simple moment,
Par le discernement du mal et du bien.

Au-delà de leurs stupides dissensions,
De leurs peurs et de l'auto-sabordement,
Admirons ensemble ces siècles d'aquarelles,
Qui nous fûmes et qui sommes-nous devenus.

Fort comme un roc et vissé sur son socle,
Tribulations portées au pinacle,
Triomphe de la vie sur la mort.
- Désincarnation ; insubstance -
Fort comme un roc et vissé sur son socle,
Tribulations portées au pinacle,
Triomphe de la vie sur la mort.
Désincarnation ; insubstance de fin de cycle,

Esquissons si je ne m'abuse, l'arabesque d'une destinée,
Où nos pères décomptent les mesures,
De leurs rimes exaltantes je me suis enthousiasmé.
Ils m'ont insufflé...

Esquissons si je ne m'abuse, l'arabesque d'une destinée,
Où nos pères décomptent les mesures,
De leurs rimes exaltantes je me suis enthousiasmé,
Ils m'ont insufflé l'authenticité de la Modernité.

Variations sur nos théories déconstructivistes,
Basées sur l'expérience d'improuvables observations,
Où les miracles abattent des totems,
En brisant leurs tabous... leurs tabous...

Nous alternons d'un temps passé qui s'échappe,
En un jadis rêvé qui ne sera jamais,
Vers ces lendemains, cet éphémère.
				
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Le roman noir
Déguste les joies de mon absurdité orpheline
Mes peintures s'extirpent de leur cadre chétif,
Les statues s'animent et rampent à côté de leur socle
Recroquevillé, nu sur une tombe, le Christ s'abandonne
Dévisagé par un moine impudique, l'enfant tordu de ses yeux masqués,
Observe... ces sexes dansant d'une telle impunité.

Tourne avec moi les pages de ce roman noir
Empire de douleur, aube de souffrance
À jamais impudique de la prière au sacrifice
Sombrement couronné Empereur
Dévoué aux luxurieux artifices

Sculpture à la verge noire
Le mal t'incite, l'interdit t'excite,
Sache que tout voile blanc s'arrache et se fripe
Rien n'exile la violence macabre de l'absurdité orpheline

Si la douleur s'essouffle, quand la mort n'est pas prête,
Elle prend une forme insidieuse et secrète : la Mélancolie

Accompagne-moi sur un sentier tourmenté
Dépravation, hypocrisie, viol

Tourne avec moi les pages de ce roman noir
Empire de douleur, aube de souffrance

À jamais impudique de la prière au sacrifice
Sombrement couronné Empereur
Dévoué aux luxurieux artifices

Si la douleur s'essouffle, quand la mort n'est pas prête,
Elle prend une forme insidieuse et secrète : la Mélancolie

Accompagne-moi sur un sentier tourmenté
Dépravation, hypocrisie, viol

Déguste les joies de mon absurdité orpheline
Les peintures s'extirpent de leur cadre chétif,
Les statues s'animent et rampent à côté de leur socle
Recroquevillé, nu sur une tombe, le Christ s'abandonne

D'où me vient ce goût pour la domination ?
Es-tu mon esclave, mon fouet, mon compagnon ?

Tourne avec moi les pages de ce roman noir
Empire de douleur, aube de souffrance
À jamais impudique de la prière au sacrifice
Sombrement couronné Empereur
Dévoué aux luxurieux artifices

Sculpture à la verge noire
Le mal t'incite, l'interdit t'excite,
Sache que tout voile blanc s'arrache et se fripe
Rien n'exile la violence macabre de l'absurdité orpheline.

Dieu, pauvre homme pervers,
Avide de pouvoir terrestre
Fleuve dont on ignore la source,
Ta joie ne sera jamais complète.
Si la douleur s'essouffle, quand la mort n'est pas prête,
Je prends une forme insidieuse et secrète :
La Mélancolie. 
				
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Déclin gargantuesque
Plus rien ne peut me combler,
Je suis comme le roi d'une vallée aride,
Régnant mais impotent, moribond et sénile.

J'ai perdu le sourire,
Même mon vieil alchimiste ne me fournit plus en or,
Ni mes sujets qui se laissent mourir sous mes meurtrières.

Majesté des nécessiteux,
Affligée par l’étiolement de son royaume,
Couronne sur un trône s’affaissant – infirme –

Je suis la corde dissonante de la divine symphonie.
Condamné aux musiques éternelles mais incapable de chanter.
Gargantuesque Déclin,
Gargantuesque Déclin...

J'ai bâti des ténèbres plus tristes que ne sont les nuits,
Détestable enfant muet ; hurlant d'horripilantes plaintes,
Antichambre du deuil perpétuel ; vibrante d'ancienne agonie,
Entends-tu l'amer rire du spectre ?
Prince de l’extrême, criant d'injustice commise,
Dans la défaite ; renaît toujours plus fort.

Respirant mais sans vie.
Même mes preux chevaliers morts en martyrs aux croisades,
Ni ma douce Dame et nos beaux enfants fauchés par la peste.

Vampire de mon propre sang,
Desséchant ce cocon mortuaire.
Gargantuesque Déclin,
Gargantuesque Déclin...

Prince de l’exil, greffe dans les cœurs le culte des souffrances,
S’élève dans le ciel tel un second soleil.
Prince de l'extrême, à qui l'on a préjudicié l'aisance,
Facilite l'efflorescence du Lotus. 
				
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1666... théâtre bizarre
1666... Théâtre bizarre,
Poésie esthétique,
Art Misanthropique.
1666... Théâtre bizarre,
Architecte lunatique,
Un soleil au-dessus des étoiles.

1666... Théâtre bizarre,
Poète esthète,
Art Misanthropique.
1666... aimez-vous le bizarre ?
Architecte lunatique,
Un soleil au-dessus des étoiles.

Dévoile le monde du bizarre,
Derrière ses grilles de métal.
Entrouvre la porte de bois gravé,
Ressens la perte de Molière,
Dans un hall presque irréel,
Chacun de vos pas découvrent
... les œuvres de mon père
... et ses secrets cachés.

Scène funambulesque,

Ménagerie du bizarre,
Évoluant dans ces décors magnifiques,
Des ombres ricaneuses déplient le tapis rouge,
Sur lequel il était coutume,
De faire révérence à Louis XIV.
Sur les murs... d'enchanteresses broderies,
Courtisanes courtoises et gentil marquis.

Les esprits hantés et oubliés de cette mascarade vous entourent,
Comme abandonnés ; dans les galeries infinies du musée du Louvre.

1666... Théâtre bizarre,
Poète esthète,
Art Misanthropique.
1666... aimez-vous le bizarre ?
Architecte lunatique,
Un soleil au-dessus des étoiles.

Hypnotisé par cet abyme,
Majesté de cette structure gothique,
Antichambre de la séparation,
Aux confins de ce dédale mystérieux,
Une voix tranchante s'échappe et m'interpelle,
"Bienvenue oh fils De l'Argilière,
Établis résidence dans le théâtre bizarre,
Là où le mépris est synonyme d'illusoire".

... Et n'oubliez pas de répondre aux appels du théâtre bizarre. 
				
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Lendemain futile
Que notre monde est bien futile,
Quelle folie de penser en un lendemain,
Que notre joie est bien furtive,
Quand tes doux baisers rencontrent les miens.

Je ne peux même plus croire en la tendresse,
Bienveillance considérée comme une simple promesse.
Ressent la détresse dissimulée sous notre masque,
Nous ne sommes que livides braises de futilité...

Lendemain Futile
Lendemain Futile
Lendemain Futile
Lendemain Futile...

Que cette amitié est clandestine,
Désillusion consignée par les querelleurs,
Le ventre noué ; l'âme pleine d'aigreur,
Fragment d’incertitude blottie au sein de mon cœur.

Lendemain Futile
Lendemain Futile
Lendemain Futile
Lendemain Futile...

Nous sommes tout sauf extraordinaires,
Je laisse mes lambeaux de souffrance à l'humanité,
Mais qui va conjurer la recrudescence de mes démons ?
La simplicité est le pouvoir de l'être, ainsi soit je...

Je ne peux même plus croire en la tendresse,
Bienveillance considérée comme une simple promesse.
Ressent la détresse dissimulée sous notre masque,
Nous ne sommes que livides braises de futilité...

Lendemain Futile
Lendemain Futile...

Ainsi soit je...
Que notre monde est bien futile,
Quelle folie de penser en un lendemain,
Que ma joie est bien furtive,
Quand tes doux baisers rencontrent les miens.
Que notre monde est bien futile... 
				
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